L’actualité centrafricaine en ce moment est focalisée sur l’après signature de l’accord de Bangui où certains de ses points concernent la mise en place d’un gouvernement d’union nationale. Mal compris par ceux qui convoitent toujours les postes de responsabilité, ces derniers envient pour eux, rien que le poste du premier ministre là où Sarandji pilote avec rigueur, franchise et transparence.
Les nouvelles répandent dans la ville de Bangui même dans les chancelleries étrangères. On parle sans doute du départ de l’actuel PM Sarandji à qui, le président Touadéra lui place encore toutes ses confiances afin de terminer en beauté son premier quinquennat.
En tout cas, la situation actuelle que nous traversons est très sensible à tel point que d’autres personnalités qui songent à devenir ministre ou premier ministre s’agitent dans tous les sens. On signale leur présence chez les marabouts voire à la Présidence en vue de négocier leurs intérêts.
Mais, rien du sérieux n’est encore visible dans ce que font ces profito-situationnistes qui entendent intégrer le cercle de Touadéra en vue de bafouer son mandat qui tire progressivement à sa fin en vue, peut-être, de briguer le deuxième sans doute.
Sarandji n’est pas le mal comme le pensent certains observateurs politiques qui se lancent dans une campagne contre sa personne et surtout sa détermination à conduire le gouvernement qu’il dirige à bon port.
Qui sont ceux qui veulent exactement du départ du Premier Ministre Simplice Mathieu Sarandji ? A en croire les informations glissées à la Rédaction de le potentielcentrafricain.com, les hommes politiques de l’opposition qui sont contre le régime de Touadéra s’alignent derrière les chefs rebelles en vue de leur soumettre leurs dossiers qui pourraient être proposés au président Touadéra qui peuvent les nommer à certains postes.
Monsieur le Président de la République, faites très attention à ce que cherchent ces « cherchés à manger » qui veulent coûte que coûte intégrer le cercle de votre régime afin de changer les donnes pour les toutes prochaines années pour que, le bilan du président soit jugé négatif.
Sarandji, comme nous ne le savons tous, est un homme pragmatique qui a su maitriser le régime du président Touadéra en gérant les choses avec toute franchises pour que les mêmes bêtises des précédents régimes ne soient répétées.
Au finish, comprenant simplement que le président Touadéra qui tient à finir en beauté son premier mandat avec son premier ministre Sarandji, ne va absolument céder à la volonté satanique de ces hommes politiques et chefs rebelles qui ne veulent pas de la présence de Sarandji à la Primature alors que dernier ne s’aligne aucunement dans le principe de ceux qui conduire droit dans le mur, le régime du président Touadéra.
Que diront ces assoiffés de pouvoir si Sarandji vont rester à la Primature pour conduire le deuxième quinquennat du président Touadéra ? C’est la question qui reste à décortiquer pour ne pas dire à décrypter. Le moins que l’on puisse dire, Touadéra reste toujours attacher coller à son premier ministre Sarandji.
Bienvenu ANDALLA,