Bangui, le 07 mars 20
Les femmes centrafricaines à l’instar des autres, célèbrent la journée internationale de la femme, ce 8 mars. Bien qu’il y’a des avancées significatives du côté de gouvernement, concernant la mise en lumière des problèmes évoqués par les femmes, mais du côté de l’ONU qui a instauré cette journée, il y’a des sérieux gênes, s’agissant de leurs éléments déployés en Centrafrique non seulement pour maintenir la crise, violent les femmes à travers plusieurs cas d’abus sexuel.
C’est une triste réalité de la part de l’ONU avec sa mission en Centrafrique. La Minusca prône la question des droits humains, alors que elle-même, à travers ses casques bleus les auteurs des principaux de cas de violation des femmes et d’abus sexuel sur les mineures et autres.
Il est grand temps que les femmes à cette occasion du 8 mars, se lèvent pour dénoncé et réclamé la justice et réparation pour les abus sexuels dont elles sont victimes de la part de ces casques bleus.
La Minusca parle de la justice, mais jusqu’à ce jour, les femmes centrafricaines continuent à pleurer et les crimes dont elles sont victimes de la part des casques bleus sont restés impunis. Revoilà autant des choses qu’il faut dénoncer à vive voix et c’est l’occasion à jamais pour les femmes centrafricaines de se faire entendre pour que justice leur soit rendue avec ses bavures des casques bleus de la Minusca.
@Jacques KOGBADJA,