Centrafrique : Les grandes œuvres infrastructurelles de la politique du président Touadéra pendant son premier quinquennat

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Bangui, le 19 avr. 21

En politique, il faut savoir marquer son histoire par de actes concrets qui témoignent de son engagement dans un monde plein d’exigence. Une page du Centrafrique commence lorsque le candidat indépendant Faustin Archange Touadéra gagne les élections de 2015-2016, face à des candidats qui avaient déjà une assise en ce qui concerne les organisations politiques. Conscient des enjeux du développement de son pays va proposer à ses compatriotes un programme de société axé sur le social dont les actes parlent d’eux-mêmes et de leur monde.

Il ne faut pas lire historique de l’avènement Touadéra comme un hasard mais comme témoignage d’un temps. Cette histoire commence avec sa victoire à l’élection présidentielle de 2016 alors qu’il n’était qu’un indépendant. Il n’est plus de doute que parlant de Touadéra de nos jours, allusion est faite à ses grandes réalisations sur le plan infrastructurel grâce aux dividendes de l’Accord Politique pour la Paix et la Réconciliation en République Centrafricaine (APPR-RCA), gage de la stabilité sociopolitique.

Conscient que la route est fille du développement, le numéro un  centrafricain a opté pour la diplomatie agissante, dans le but de renforcer la coopération bilatérale entre les grands pays amis qui font leurs preuves dans le monde. C’est dans ce sens qu’il va bénéficier d’un partenariat gagnant/gagnant avec la République Populaire de Chine dont les œuvres parlent d’elles-mêmes de leur monde, avec la réhabilitation du Building administratif voire ceux des provinces (Bouar, Bossangoa, Sibut, Paoua…), le pont de Sapeké qui relie le 2e arrondissement au 6e arrondissement pour faciliter la libre circulation de ses concitoyens et surtout les transactions économiques entre la capitale et la préfecture de la Lobaye. Beaucoup d’autres infrastructures allant dans ce sens, ont été réalisées sur les fonds propres de l’Etat et même les bitumages des axes principaux de la capitale.

De nos jours dans la capitale centrafricaine, toutes les artères sont goudronnées sous financement propre de l’Etat et des partenaires au développement. Ainsi, dès la descente de l’Aéroport International Bangui M’Poko la réhabilitation de ce monument national fait la fierté de tous les usagers de l’espace aérien qui voient le siège de SODIAC et ANAC qui sont aujourd’hui, une vitrine du pays. Doit-on toujours aller en Europe pour voir de telles réalisations ? Le Président Touadéra répond par la négation.

C’est une certitude lorsqu’on sait que les présidents de la Sous-région et autres visiteurs de parque, peuvent séjourner en Centrafrique, sans se faire traîner dans des hôtels comme des vulgaires personnalités. Cette Cité des Chefs d’Etat de la CEMAC, il faut le signaler qu’elle a été financée sous les fonds propres du gouvernement centrafricain. Il suffit de jeter un coup d’œil en face de ces Résidences pour voir comment le Bureau d’Affrètement Routier Centrafricain (BARC) est construit au standard moderne. Une infrastructure qui répond aux critères des infrastructures comme celle sous d’autres cieux.

En mathématique, il faut toujours une équation dans la résolution des différends. Ainsi, étant donné que la République centrafricaine est un pays enclavé qui ne peut fonctionner que par ces recettes douanières, le champion centrafricain a opté pour la construction des édifices qui permettent aux personnels de travailler dans un cadre décent. On peut le constater avec le Ministère des Mines, le Ministère des Finances, le nouveau siège de la Direction nationale de la BEAC, le nouveau siège social de la CBCA, les Camps militaires de Bouar réhabilités et du PK 22 en travaux , l’Hôtel des impôts de Bangui, la réhabilitation de plusieurs Commissariats de police et brigades de Gendarmerie sur tout l’étendue du territoire national, la construction des infrastructures de la Jeunesse Pionnière (JPN) dans la capitale et dans certaines villes du pays,  la création de plusieurs postes de Douane dans les grands corridors du pays, la clôture de l’Aéroport international Bangui-M’poko, le bitumage de plusieurs axes du pays, dans le but de désenclaver totalement le pays car, dit-on, là où la route passe, le développement devient une réalité.

Sur le plan scolaire, l’incontournable Touadéra est conscient que la jeunesse est le fer de lance de la nation. Et pour la mettre dans les conditions dignes d’éducation, il a opté pour la construction voire le réaménagement de plusieurs établissements scolaires à l’instar du Lycée Miskine, Miskine, Sibut et du lycée Gobongo, l’intensification de l’Université de Bangui et la sécurisation de tous les établissements scolaires de la ville de Bangui par des clôtures ceci, dans le but de garantir la sécurité la sécurité des élèves et étudiants qui doivent étudier dans des conditions normales.

La plus grande victoire de cette politique est infrastructurelle est l’éclairage public et les quelques villes de provinces de la ville de Bangui : « Avant le président Faustin Archange Touadéra, la capitale centrafricaine était plongée dans le noir ce qui favorisait les cas de braquage dans la nuit, sans oublier d’autres actes de banditisme. De nos jour, l’on peut circuler du Nord au Sud et de l’Est à l’Ouest de la capitale, en toute visibilité sans se faire surprendre par des hommes de mauvaise foi », témoigne un observateur de la vie politique.

En politique, il faut marquer  positivement son histoire par les grandes œuvres et par une politique de cohésion nationale, disant du développement intégral. La plus grande œuvre humaine réalisée au cours de ce premier quinquennat de Touadéra, est celle du vivre ensemble entre les communautés chrétiennes et musulmanes, déchirées entre temps suite à la dernière crise militaro-politique.

On se souvient pour mémoire que depuis la chute de l’Empereur Jean-Bedel Bokassa, les politiques centrafricains n’ont pas pensé à construire ce pays. De nos jours, le Président Touadéra prouve que ce ne sont pas les moyens qui manquaient, mais la volonté politique voilà pourquoi, les bâtiments poussent dans la capitale centrafricaine comme des champignons et saison des pluies. C’est en cela qu’il a eu la confiance de son peuple, afin de faire passer son pays des grandes ambitions aux grandes réalisations.

L’assainissement des finances publiques sous le régime de Touadéra est le résultant de la décroissance des dettes extérieures. A en croire un rapport en provenance des Institutions de Breton-Wood, les dettes extérieures de la RCA sont passées de 69,2 % du PIB en 2014 à 48,5 % en 2018.26 oct. 2020. Dans un contexte sécuritaire, politique et économique particulièrement tendu, le FMI a validé le décaissement d’une nouvelle tranche d’aide, dont se félicite le ministre des Finances et du Budget, Henri-Marie Dondra.

Le gouvernement centrafricain a annoncé, le 13 janvier, avoir obtenu un nouveau décaissement du Fonds monétaire international de plus de 34 millions de dollars, dans le cadre de l’accord de Facilité élargi de crédit conclu le 20 décembre 2019 pour un montant total d’environ 115,1 millions de dollars sur trois ans. Outre cet arrangement, le FMI a apporté 38 millions de dollars de financement d’urgence à la Centrafrique, en avril 2020, pour aider le pays face à la crise de coronavirus.

« Les autorités se sont attachées à faire en sorte que les financements d’urgence des donateurs soient utilisés de manière efficace et transparente pour lutter contre la pandémie et atténuer son impact sur les plus vulnérables. Des progrès substantiels ont également été réalisés dans la mise en œuvre des réformes structurelles », relève effectivement le directeur général adjoint et président par intérim du Fonds, Mitsuhiro Furusawa, à l’issue du conseil d’administration qui a validé le décaissement.

Pour l’avenir, les autorités poursuivront leurs efforts pour soutenir la reprise économique et réduire la pauvreté, en donnant la priorité aux dépenses sociales, à l’amélioration de la mobilisation des recettes intérieures, à la consolidation du compte unique du Trésor et au renforcement de la supervision du secteur public. Elles mettront également en œuvre des réformes visant à renforcer la gouvernance et le climat des affaires, notamment par la présentation au parlement d’une nouvelle loi anticorruption et la publication des marchés publics.

Touadéra modernise le secteur éducatif centrafricain

Sous d’autres cieux, la jeunesse est le fer de lance de la nation. Conscient de ces enjeux, le champion centrafricain en tant qu’enseignant chevronné qui a fait des preuves dans le monde universitaire, et soucieux de l’avenir de son pays, la RCA, le il a inséré dans ses dix domaines d’impulsion, le secteur de l’éducation pour que le développement du pays réussisse dans tous les domaines, entre autres, la recherche scientifique, les innovations technologiques et bien d’autres.

Pour une Nation prospère, il lui faut de bonnes actions pour donner la chance aux enfants du pays d’étudier dans les conditions décentes du niveau fondamental 1 jusqu’au niveau supérieur, sans oublier les diverses formations et encadrements diligentés à l’endroit des jeunes.

Pour que l’éducation soit véritablement accessible à tous les enfants de Centrafrique, il est indispensable que les infrastructures, les moyens pédagogiques…soient disponibles. Et c’est ce qu’effectivement, Touadéra n’a pas omis dans sa vision politique qui donne les fruits aujourd’hui. Même si certaines personnes malintentionnées que nous connaissons tous, perturbent dans certaines régions du pays pour que l’éducation traine, on peut avouer sans mâcher les mots qu’on enregistre des avancées considérables dans le domaine de l’éducation : « Le Président Touadéra étonne tout le monde. Même au niveau international, c’est son nom et ses actions qui vibrent. Du jamais vu, un Président de la République qui a plusieurs charges, continue d’enseigner à l’Université et d’encadrer constamment ses étudiants. Il dispose les cours aux heures qui lui sont données », a déclaré un observateur de la vie politique, tout en argumentant qu’un c’est un Président que sa « craie » ne tombe jamais dans ses doigts.

A vrai dire, Touadéra veut un pays où l’éducation tient une place et que les partenaires au développement soutiennent mordicus la politique du Président Touadéra dans ce domaine. Pour bien aboutir à des résultats très satisfaisants, plusieurs actions sont réalisées pour que l’enseignement rime avec ce dont les élèves, les étudiants voire les enseignants se sont retrouvés dans les diverses programmes pédagogiques adaptés dans le contexte du pays en cette période de la mondialisation.

Touadéra, un homme qu’il faut à la place qu’il faut, a mis l’éducation sur ses épaules. Sachant bien que le combat tant voulu n’est pas encore achevé dans ce domaine, le numéro un centrafricain veut pousser encore les réalisations très loin, à un niveau très  élevé dans les années à venir.

« L’avenir du pays repose sur la jeunesse. Le Président Touadéra qui est un bon éducateur, change l’image de la RCA dans le domaine de l’éducation. Nos enfants vont à l’école, se forment dans plusieurs domaines pour servir leur pays. », Rassure un compatriote de Bambari, joint par téléphone par notre Rédaction.

@HERVE BINAH, 

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