Bangui, le 04 août 19
Diriger un pays durant trois ans, ce n’est trois jours et surtout un pays qui a connu une terrible crise militaro-politique. En accédant à la magistrature suprême de l’Etat le 30 mars 2019, le président Faustin-Archange Touadéra a hérité d’une situation catastrophique et désastreuse. L’Etat a vrai dire, n’existait pratiquement pas. L’administration était à plat, les activités sont en lambeau à cause des groupes armés qui faisaient régner leur puissance de feu. De la situation humanitaire alarmante en passant par l’insécurité grandissante dans le pays, tout était ténébreux.
Convaincu de son engagement politique pour le redressement national, le peuple centrafricain a donné ticket blanc au président Touadéra pour conduire sa destinée. Voilà que depuis trois d’exercice du pouvoir, le Chef de l’Etat Faustin-Archange Touadéra dit FAT, réalise avec succès la mission qui lui est confiée.
Faisons juste une comparaison du climat socio-économique et politique de l’heure avec celui du régime de la transition. FAT avec sa méthode de gouvernance a démontré clairement à l’opinion nationale et internationale qu’il est à la hauteur de la chose. Raison laquelle, la communauté internationale ne cesse de lui attribuer la lettre de noblesse. Sur plan mondial, un rapport a placé le président Touadéra parmi les dix Chefs d’Etat au monde qui dirige bien leur pays.
Sur le terrain, c’est la réalité et le peuple se retrouve dans cette gouvernance qui tienne compte de besoins prioritaires de l’heure, notamment la paix, la sécurité, la cohésion sociale et le développement qui est en marche. Beaucoup sont ceux qui se demandent comment les autorités du pays apprécient la gestion du pays ? Non ! Comme à l’école, un enseignant ne peut jamais s’évaluer. Ce sont même les élèves qui apprécient à leur juste valeur l’enseignant.
Donc, les autorités du pays ne peuvent apprécient la manière dont elles conduisent la Nation, mais c’est aux centrafricains d’apprécier à leur juste valeur ce qui se fait actuellement dans le pays. Depuis, trois ans de gouvernance, que bonheur en bonheur même s’il y’a quelques failles à enregistrer dans certains domaines et que ce sont même les ennemis de la nation (groupes armés, opposants politiques…) qui font entortiller les choses par pur méchanceté.
Le président Touadéra, l’homme du dialogue, n’a pas la culture de violence, disant de la guerre. C’est à travers cette méthode de dialogue que Touadéra a fini par rassembler tous les fils et filles du pays qui marchent maintenant vers le chemin de l’espoir. Personne ne démentira ce que nous mettons en exergue dans ce présent article de presse. Tous les signaux sont au vert et le président Touadéra compte poursuivre la réalisation de ce grand chantier à un niveau très élevé. Comme l’homme a l’habitude de le dire, c’est la politique de l’addition et la multiplication qui peut développer un pays. Autrement dit, la contribution de tout un chacun est indispensable au relèvement total du pays.
@Bienvenu ANDALLA