Bangui, le 29 janv. 19
C’est du moins une honte pour les rebelles qui ont pris part au dialogue de Khartoum. Ces derniers frappent leurs nez à l’échec total face à leurs intentions d’échapper au vrai sort qui leur ait réservé. Ce sort bien mérité est bel et bien, la prison voire leur neutralisation dans un bref en vue de vivre en paix le peuple centrafricain et « fouter » la tranquillité au régime de Bangui.
Tout le monde suit de près ce qui se passe à Khartoum où les rebelles qui sont soutenus par des mains invisibles, prônent durant les discussions, la question de l’amnistie, le partage du pouvoir, condition sine qua non pour eux, de déguerpir des lieux où ils massacrent, violent, pillent et volent ce qui ne leur revient aucunement de droit.
En clair, les quatorze (14) groupes armés dont le vampire Abakar Sabone se fait leur porte-parole, ont demandé purement et simplement, l’amnistie pour qu’ils disent peut-être adieu aux engins de guerre. C’est faux ! C’est inacceptable et jamais ce dont ils exigent ne pourrait leur accorder. Qui est dupe ! « Si nous voulons la paix, nous devons amnistier certains rebelles et aller au pardon », c’est qu’a déclaré le sanguinaire Abakar Sabone depuis Khartoum. Ce crétin du genre à Abakar Sabone se trompe et oublie même que sa place est en prison et il n’en sortira pas avec les autres terroristes dont le peuple centrafricain reste déterminé à régler leur sort.
Aucune amnistie sera accepté et qu’aucun poste politique leur sera donné. Car, il existe déjà au sein du gouvernement et dans d’autres Institutions de la République, les représentants des groupes armés dont tout le monde sait certains ne jouent pas franc-jeu.
Ce n’est pas une préoccupation à y réfléchir du matin au soir. La Constitution centrafricaine est claire et les recommandations du Forum National de Bangui. Le Président de la République Faustin-Archange Touadéra qui, dans toutes ses déclarations, insiste sur le respect de la Constitution de son pays, rien que la Constitution, ne va jamais accepter de violer cette Constitution pour ne pas trahir peuple centrafricain et surtout moquer des victimes des sanguinaires qui se pointent à Khartoum pour négocier leur sort.
Le plein pouvoir a été déjà donné au Président de la République et son Gouvernement qui ne sont pas prêts à faire la volonté de ceux qui sont les ennemis de la Nation. C’est bien beau de dialoguer, mais une chose est celle de respecter les vœux du peuple qui a donné mandat à leurs autorités de le gouverner. Donc, l’amnistie n’est pas à l’ordre du jour en ce qui concerne le souhait des terroristes du genre à Abakar Sabone, Alkatim, Abdoulaye Hissein, Ali Darassa, Sidiki…le président Touadéra à qui, son peuple lui fait confiance pour conduire sa destinée.
In fine, le processus de relèvement du pays est enclenché bien longtemps à tous les niveaux. Ce processus prend en compte la question de la justice (traduction des auteurs, co-auteurs des crimes devant les tribunaux) et la sécurité (DDRR) pour que la réconciliation nationale soit véritablement traduite dans les faits.
Abakar Sabone au nom de frères criminels doit avoir du respect en devers les autorités légalement établies. Le peuple centrafricain reste toujours debout face aux conneries de ses ennemis. Votre site lepotentielcentrafricain.com qui dispose de toutes les informations sur les plans machiavéliques de ces criminels, vous informe en temps réel dans les heures qui suivent.
Hervé BINAH