Centrafrique : Le Conseil National de la Jeunesse dresse un bilan positif de son premier mandat

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Bangui, le 12 février 21

Conformément au règlement intérieur de cette structure, les membres du bureau ont tenu une conférence de dresse ce jeudi 11 février 2021 pour présenter le rapport général de leur bilan. Les différentes préoccupations de la jeunesse centrafricaine sont au cœur de la mission qui leur est confiée.  La présidente du CNJ, Pamela Dérom avait elle-même animé cette rencontre avec les professionnels des média.

Dans le bilan présenté par le Secrétaire général dudit mouvement, durant ce premier mandat, le bureau a multiplié des rencontres de haut niveau avec les autorités du pays, les partenaires nationaux et internationaux. On peut citer entre autres, la MINUSCA, le PNUD, l’UNICEF, les Etats-Unis…

Pour mieux projeter les actions des années en cours, douze axes ont été définis, dans les activités réalisées, en plus de cela les objectifs à poursuivre, et les difficultés rencontrées.

Un an à la tête de cette institution, le bureau a pu réaliser des activités de plaidoyer, des ateliers de renforcement de capacité, des sensibilisations de masse ou ciblées, le renforcement de cadre juridique du CNJ.

Dans la dynamique de ces activités, les autorités du pays ont redonné confiance à la jeunesse centrafricaine qui autrefois, avait perdu toute confiance des autorités et partenaires. C’est dans cette optique que le président de la République avait accordé une audience au bureau de la CNJ après sa mise en place.

Dans cette dynamique une rencontre avait été eu lieu avec entre le bureau et la représentante générale adjointe du secrétaire général des Nations-Unies en Centrafrique, concernant la participation des jeunes dans la prise des décisions au niveau national et international.

Plusieurs projets ont été mis en place par le bureau actuel entre autres, le projet de la participation des jeunes au processus électoral financé par la MINUSCA, le projet d’accompagnement des jeunes candidats dans le processus électoral. Ces projets ont favorisé une participation massive des jeunes dans le processus électoral. En plus de cela, les jeunes se sont activés dans le processus de la consolidation de la paix.

Mais il est important de noter que le bureau actuel s’est confronté à d’énormes difficultés entre autres, l’avènement de la Covid-19, les divergences avec certains jeunes, l’utilisation des logos et des matériels des jeunes à des fins politiques. Bref !

Tout porte à croire que beaucoup reste à réaliser par le bureau actuel car, il porte encore beaucoup de projets qui seront réalisés dans les deux ans qui restent.

@Bienvenu ANDALLA, 

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