Quand l’opposition dégrade elle-même le climat politique pour noircir le régime de Touadéra

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Bangui, le 09 juin 22

Les leaders politiques de l’opposition se mettent actuellement dans une posture de va-t’en guerre contre les populations, avec l’affichage des comportements tendant à créer l’instabilité dans le pays. Au premier plan de ceux qui veulent embourber le pays dans la merde, se trouve un groupuscule des personnalités vipérines au régime du président Faustin Archange Touadéra qui, conduit le pays doucement mais sûrement vers un lendemain meilleur.

Tout a commencé avec la tenue du dialogue républicain que voulaient boycotter ces gens qui manœuvrent dans la plateforme COD-2020, une coalition des personnalités qui trainent un passé politique très malpropre, entaché de malversations financières, crimes odieux contre les populations et autres attitudes qui sont à l’origine de la crise que le pays a connue à un certain moment.

Malgré ce dialogue républicain réussi, les membres de la COD-2020 pour ne pas dire CPC, continuent leurs manœuvres attentatoires pour que le pays puisse sombrer dans l’abîme, et que le président Touadéra perde les pédales du rythme de sa bonne gouvernance à la tête du pays.

On ne refuse pas que l’opposition joue son rôle dans un pays qui se dit démocratique. C’est la règle du jeu où la place est laissée à qui de droit de donner son avis sur la manière à laquelle le pays est géré. Mais, cela devrait être fait en termes de contribution et non de critiques négatives.

Ces derniers temps, nous assistons à une résurgence des comportements haineux de des leaders d’opposition. Leur prise de position n’est pas différente des regains de violences dans l’arrière-pays avec les mercenaires de la CPC qui font des attaques sur les positions des FACA sans une raison valable.

A commencer certaines figures de proue de cette opposition qui, après avoir séjourné en France pour des raisons incongrues, ont fait leur retour à Bangui en tenant des propos incendiaires visant à semer le trouble dans le pays. Le Centrafricain qui n’est pas bête, a jugé mieux de ne pas perdre son temps pour suivre ces derniers.

Puisque c’est elles qui se mettent au premier plan des actions visant à créer l’instabilité dans le pays, elles ont été suivies par leurs disciples. Les propos tenus par ces personnalités imbues de méchanceté, sont tels que personne ne peut les suivre dans leur aventure politique.

Au demeurant de toutes ces agitations, on apprendra que la bande de ces personnalités hors d’usage ont seul objectif qui est celui de la déstabilisation du régime en place par tous les moyens. Comment peut-on reconstruire le pays qui se met sur les rails de développement, alors que d’autres personnes font des manigances pour l’amortir dans sa course ?

Qu’est-ce que le chef de cette opposition a fait concrètement quand il occupait, sous le régime du feu président Ange-Felix Patassé, le poste de Premier ministre ? Des arriérés de salaire et autres pillages des biens immobiliers de l’Etat. Sous le régime sanguinaire des séléka, un autre a été également aux affaires. A-t-il réussi la mission qui lui a été confiée par le père de la Séléka ? Aucunement pas!

N’est-ce pas que Touadéra est arrivé corriger ce dont ils sont incapables de faire pour l’intérêt du pays ?

Désiré Erenon qui a été également mis à contribution pour le développement du pays, en tant que directeur de cabinet de Firmin Ngrébada qui fût Premier ministre, a été remercié pour des raisons que tout le monde sait. Après leur forfaiture, ces opposants en perte de vitesse pour accuser le régime, crient à la chasse aux sorcier

Le moins qu’on puisse dire, le président Touadéra n’a aucunement l’intention de « traquer » ses opposants qui selon lui, jouent leur rôle et ils doivent cependant, respecter les lois du pays et ne doivent pas s’embourber dans de mauvaises manœuvres déstabilisatrices du pays par tous les moyens.

Depuis son accession à la tête du pays, le président Touadéra n’a nullement s’ingérer dans le fonctionnement des institutions de la République, par respect du principe de la séparation des pouvoirs. Mais, ceux qui font l’objet d’une quelconque poursuite judiciaire pour des motifs qui leurs sont reprochés, doivent répondre de leurs forfaits. C’est ce qu’on appelle la lutte contre l’impunité.

C’est le cas de plusieurs personnalités qui croupissent dans les maisons carcérales puisqu’ils sont reconnus coupables de certains actes qu’ils avaient entre temps, commises. Certains sont reconnus coupables des malversations financières, pillage des biens publics, etc. D’autres par contre, font face actuellement à la justice à cause de leur connivence avec les groupes armés qui cherchent à destituer les institutions républicaines, pour ainsi, abréger le régime démocratique du président Touadéra.

Faille-t-il les laisser tranquillement continuer leurs sales façons de faire la politique ou de comploter afin de nuire au pays ? Le ridicule ne tue pas en RCA, et ne tue d’ailleurs pas nos hommes politiques qui sont hors normes. Le peuple centrafricain tient ces personnalités à l’œil et l’histoire en témoignera.

A suivre…

@Simon Dalingombé

 

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