Dans un contexte de tensions persistantes en République centrafricaine, le Président Faustin Archange Touadéra continue de s’engager activement pour la restauration de la paix et de la sécurité, particulièrement dans la préfecture de Haut-Mbomou. Fidèle à sa politique d’ouverture et de la main tendue, il a déployé de nombreux efforts pour favoriser le dialogue et la réconciliation nationale.
Malheureusement, la situation sur le terrain reste précaire, en grande partie en raison de l’ingérence de puissances extérieures. Ces dernières orchestrent des manipulations, entraînant des jeunes au sein de l’organisation criminelle « A zandé ani kpi gbé », qui cible les populations musulmanes, exacerbant ainsi la tension interethnique. Ce climat de violence semble alimenter des ambitions de déstabilisation, pour favoriser le pillage des précieuses ressources naturelles de la région.
Le Président Touadéra, fort de sa démarche inclusive, a fait preuve de magnanimité en intégrant des miliciens Azandé au sein des Forces Armées Centrafricaines (FACA) et en facilitant leur insertion dans la vie civile après leur désarmement. Parallèlement, il a initié plusieurs projets visant à booster le développement de la préfecture de Haut-Mbomou, témoignant ainsi de sa volonté d’apporter des solutions concrètes aux problèmes locaux.
Cependant, ces initiatives rencontrent une résistance croissante. Les milices Azandé, manipulées par des forces extérieures et des factions d’opposition, intensifient leurs attaques contre les communautés musulmanes. Ces actes visent non seulement à provoquer une réaction violente de cette population, mais également à déclencher un conflit ethnique et religieux qui pourrait plonger la région dans le chaos.
Face à cette situation, le président Touadéra appelle les membres de la milice Azandé à saisir l’opportunité offerte par sa politique de main tendue pour se désarmer et faire le choix de la paix. Ce message est un appel à la conscience collective pour éviter un scénario catastrophique qui pourrait avoir des répercussions dévastatrices pour toute la nation.
La restauration de la paix en Haut-Mbomou, et plus largement en République centrafricaine, dépend maintenant des choix qui seront faits dans les jours à venir par cette milice.