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Le peuple s’oppose aux mauvaises pratiques du BRDC qui brille par l’instrumentalisation pour provoquer un soulèvement populaire

Bangui, le 09 janvier 23

Les leaders politiques d’opposition regroupés dans le BRDC ne lâchent pas dans leur élan visant la déstabilisation du pays sur tous les plans. Autant d’actions funestes  que nous enregistrons de la part de cette plateforme politique qui ne se soucie pas pour l’intérêt du peuple Centrafricain.

Il vous souviendra que dans un temps récent, les membres du BRDC connus à cause de leur politique démagogique, ont interpellé plusieurs partenaires internationaux à suspendre toute aide à la RCA. Les raisons avancées par ces derniers sont celles de soumettre le régime de Touadéra à des difficultés pour que la population se lance dans une révolte.

A dire vrai, la soif du pouvoir domine les membres du BRDC à tel enseigne qu’ils mènent des actions lugubres contre le pays.

Malgré l’attitude incongrue de ces opposants au régime du président Touadéra, les efforts se font continuellement, et les salaires, bourses, pensions…sont payés à terme échu. D’autres charges régaliennes de l’Etat sont prises en compte à travers des stratégies établies par les autorités du pays.

Les leaders du BRDC, notamment Nicolas Tiangaye, Martin Ziguélé, Mahamat Kamoun, Anicet-Georges Dologuélé, Crépin Mbolingoumba, Alexandre-Ferdinand Nguendet…ne veulent aucunement du bien-être des Centrafricains et le développement de la RCA. N’est-ce pas c’est une honte pour ces piètres politiciens d’assister au progrès du pays ?

Toutes ces réalisations que les autorités du pays font actuellement sont basées sur les fonds propres de l’Etat. Ce qui naturellement, n’arrange pas ces assoiffés du pouvoir qui font la honte nationale.

Les Centrafricains sont déçus du comportement des leaders du BRDC et leur branche armée de la CPC. La méthode de la gouvernance du pays est simple mais difficile pour ces ennemis de la paix qui ont de la peine a trouvé la formule. La RCA n’est pas l’héritage exclusif de ceux-là qui pensent que les Centrafricains doivent vivre éternellement dans la misère.

La RCA n’est pas le seul au monde ou encore dans la sous-région qui fait face aux problèmes de carburant. Même dans les pays producteurs de l’or jaune, on assiste également à l’augmentation des prix à la pompe. C’est justement dans le but de mettre un terme à la longue queue au niveau des stations-services voire à la rareté du carburant que des mesures ont été prises pour alléger la souffrance des consommateurs.

Pour quel but les leaders du BRDC se lancent-ils dans l’instrumentalisation des populations ? Le gouvernement a justifié cette augmentation par le coût exorbitant  de la subvention publique. L’augmentation du prix du carburant à la pompe  irrite les acteurs sociaux. Certaines centrales syndicales, travailleurs, commerçants, conducteurs des engins de transport public, s’en prennent au gouvernement à cause de sa décision qu’elle juge unilatérale. Mais avec l’explication du gouvernement, ceux-ci commencent à comprendre le bien-fondé de cette décision.

D’après certaines, les leaders du BRDC ont commencé des sensibilisations dans les quartiers de Bangui en commençant par le quartier Bruxelles (2e arrondissement) pour soudoyer les conducteurs de taxi-motos et les chauffeurs des bus et taxis à cesser le travail pour entrer en grève.

Les mêmes sources signalent que l’Ambassade de France à Bangui aurait soudoyé ces leaders du BRDC afin d’amplifier les actions de soulèvement pour cette affaire de carburant. Malheureusement tous ceux qui ont été rapprochés par ces leaders, ont opposé un refus catégorique. C’est dire que toutes les propositions des leaders du BRDC et celles de l’Ambassade de France sont rejetées en bloc concernant l’organisation d’une grève voire cessation des activités.

Affaire à suivre.

@Koko Mbéréti

 

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