Certes, les critiques objectives, voire constructives sont très importantes pour le développement de la République centrafricaine, car l’œuvre humaine n’est jamais parfaite. Mais aussi reconnaitre les efforts consentis par ceux qui font des efforts pour le pays est également un acte de patriotisme et d’amour de la patrie. En faisant cela, le pays pourrait effectivement amorcer son processus du développement.
Malheureusement, les autorités de la place font l’objet de critique, voire de diffamation. Là où le bât blesse, ces autorités qui représentent les institutions de la République ne cessent d’être humiliées sur les réseaux sociaux. Alors qu’un célèbre adage dit que : « le linge sale se lave en famille ».
Il est aujourd’hui temps pour le peuple centrafricain de respecter ses autorités tout en respectant les efforts consentis par ces dernières si et seulement si on veut qu’on les autres nous respectent. Certaines critiques dans ce pays ne contribuent pas au développement de ce pays, elles sont à l’origine de maux qui ont malheureusement maintenu le pays dans l’instabilité. A titre de rappel l’embargo a été mis sur les armes à destination de la RCA et sur le diamant centrafricain, c’est à cause de Centrafricain lui-même qui a crié sur tous les toits à l’époque.
A un moment donné, le pays n’était différent de l’enfer. Mais grâce à l’accession à la magistrature suprême de l’Etat par le président Faustin Archange Touadera suivant la miséricorde de Dieu envers les Centrafricains, le pays a pu retrouver ses lettres de noblesse vis-à-vis des agitations de ses détracteurs. S’il n’était pas élu à la tête de la République centrafricaine, ce pays devait déjà être rayé parmi la liste des Etats à travers le monde.
Aujourd’hui nous continuons d’appeler notre pays « la République centrafricaine », c’est parce que le président Touadera a fait preuve d’un travail de sacrifice et d’abnégation pour mettre en déroute les prophètes de malheur, voire de division qui s’activaient à l’époque pour la division de la République centrafricaine malgré sa devise : « unité-dignité travail ».
Le président Touadéra n’a pas encore répondu aux attentes de son peuple, mais pour l’instant nous devons être reconnaissants durant le reste de son mandat avant de décider sur celui qui va continuer à présider à la destinée de la RCA. C’est au peuple de décider. Mais pour l’instant faisons preuve de reconnaissance envers nos autorités.
Si la République centrafricaine est respectée aujourd’hui sur la scène internationale c’est grâce à la diplomatie agissante du Champion National le Pr. Faustin Archange Touadera. Cet engagement politique de la part du numéro un centrafricain a suscité une révolution positive sur le continent africain. Au sein de ce régime, on assiste à certaines bavures, mais cela ne nous donne pas de quitus de ternir l’image de notre pays.
C’est ainsi que le président Touadera ne cesse d’être cité comme un modèle au niveau de l’Afrique. Pour la défense de l’intégrité territoriale, l’accession à la magistrature suprême de l’Etat par le président Faustin Archange Touadéra a permis d’augmenter l’effectif de nos hommes de rang qui passe miraculeusement de 7000 hommes à 23.000 suivant la politique pragmatique du président Touadera. Cela n’est pas un motif pour le peuple centrafricain d’encourager ses autorités ? Que l’amour de la patrie nous guide !
Avant l’arrivée du président Touadera, le pays était victime de deux sanctions internationales. Mais conscient du principe de continuité des services de l’Etat, le président TOUADERA a fait de ces deux sanctions historiques son affaire personnelle. Aujourd’hui à l’issue de cet acte plein de patriotisme, le pays est libre comme l’air d’où sa marche rassurée pour un développement durable.
Il résulte de cet article de presse que le peuple centrafricain doit respecter et reconnaitre les efforts consentis par ses autorités de la place au lieu de ternir l’image des institutions républicaines dont lesdites autorités ont la charge. A côté des critiques, il faut également reconnaitre les efforts de celles et ceux qui se sacrifient pour la cause du pays.