La construction d’un Etat uni et prospère s’impose en Centrafrique après ce dialogue

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Bangui, le 06 avril 22

Les causes du sous-développement de la RCA sont connues de tout le monde, les mesures à prendre pour redresser la situation sont connues, tout le problème réside dans leur mise en œuvre.  Au nombre des mesures à prendre de façon urgente pour permettre à la RCA de ne pas rester en marge de la communauté internationale dans le processus de développement intégral. C’est ce que le Président Faustin-Archange Touadéra se bat de jour en jour pour y faire face.

A en croire certains experts, les deux problèmes suivants sont à prendre en compte: la prévention des conflits et la consolidation de la paix après les conflits et la bonne gouvernance. En matière de prévention des conflits et de consolidation de la paix après les conflits, on signale que des initiatives ont été prises néanmoins de difficultés en matière de consolidation de la paix après les conflits se présentent toujours.

La lutte contre la pauvreté dans la région doit se voir accorder un rang de priorité élevé et la mobilisation de ressources nationales et étrangères revêt un caractère d’urgence.  Les capacités restreintes de Centrafrique en matière d’épargne et d’investissement, malgré les efforts du pouvoir en place, font que le pays va continuer à compter sur un partenariat international puissant et résolu.

Certains observateurs de la vie politique centrafricaine ont fait remarquer que les conflits du pays n’ont pas pris fin, et ont des causes complexes.  Ils ont leurs racines dans la pauvreté, le retard et le manque de capacité de maintenir la paix.  Donc il fallait adopter une approche intégrée qui tient compte à la fois des conflits et de leurs causes premières.  Personne dans le monde ne connaît mieux la RCA que les Centrafricains eux-mêmes dans la manière de chercher des solutions aux conflits centrafricains.

Le problème de la RCA, est finalement un problème de développement. On regrette que la RCA demeure par la mauvaise politique des leaders des partis d’opposition et ceux de la société civile, le théâtre de nombreux conflits et en retrait soit toujours en retrait du développement économique et social. Pour faire face à ces défis, les autorités du pays doivent respecter la démocratie, les droits de l’homme et la bonne gouvernance, comme un préalable incontournable au développement durable.

@JACKO

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