Bangui, le 03 avril 23
Pour conduire un pays comme la République centrafricaine frappée par des crises à répétition, le leader politique doit avoir un certain nombre d’atouts pour mener à bien son peuple au développement. C’est ainsi que le Président Faustin Archange Touadéra, se base quant- à lui, sur le patriotisme, l’intégrité, la compétence et le professionnalisme pour réussir sa profession de foi. Et pour cause ?
Le régime de Bangui, fonctionne depuis lors, suivant un principe établi par son numéro un, le Pr Faustin Archange Touadéra. Ceci, a commencé depuis que l’actuel locataire du palais de la renaissance était le premier ministre du général de la brousse, François Bozizé devenu chef de la CPC. A titre de rappel, quand l’ex-premier ministre, actuel président de la République centrafricaine faisait des missions, il restituait le reste de l’argent non utilisé au trésor public. Et quand il prend aujourd’hui l’intégrité comme l’un de ses principes, cela n’est pas un hasard et le peuple centrafricain ne peut pas être étonné.
Aujourd’hui, si ce n’est pas à cause du patriotisme dont fait preuve le président Touadéra, ce dernier aurait dû abandonner ce pays à la merci des terroristes téléguidés jour et nuit par les occidentaux notamment la France. Celle-ci ne sait quoi faire que provoquer injustement l’instabilité du pays. Si le locataire du palais de la renaissance se bat contre vents et marrées dans le cadre de trouver de solution aux préoccupations de son peuple. C’est la raison de son accession à la magistrature suprême de l’Etat qui n’est autre que son sens élevé du patriotisme et non pour le plaisir d’être président de la République comme le général de brousse ne cesse de le faire.
Quand le président déclare qu’il va continuer à gouverner ce pays avec professionnalisme, cela ne nous étonne pas car face aux obstacles érigés par les ennemis de la paix pour lui mettre les bâtons dans les roues, le président centrafricain continue d’entretenir des relations avec des partenaires sérieux. Même, ceux qui l’avaient abandonné dans le moment le plus difficiles de l’histoire de la République centrafricaine.
Pour être à la tête d’un l’Etat et surtout un pays comme la République centrafricaine, il faut un président doté d’une compétence digne de ce nom pour faire face à ces différents problèmes qui surgissent de nulle part. Aujourd’hui, si le régime de Bangui se bat pour diversifier ses relations diplomatiques voire à tendre les mains à des groupes armés, ce n’est pas de l’idiotie ni de la faiblesse. Cette compétence que le numéro un centrafricain est en train de faire montre, est également synonyme de sagesse. C’est avec une sagesse que ce vaillant fils du pays, est en train de conduire ses compatriotes. A vrai dire, les opposants, les occidentaux et tous ceux qui réclament son départ à la tête du peuple centrafricain, n’ont rien à faire parce qu’ils savent qu’ils ne peuvent pas faire mieux. « On ne jette des pierres que dans les arbres qui portent des fruits » a-t-on l’habitude de dire.
Ces quatre principes voire vertus, donnent de l’espoir aux Centrafricains pour un avenir meilleur. Beaucoup de dirigeants qui ont accédé à la tête de l’Etat centrafricain, n’ont pu faire preuve de ces vertus. Mais là où le bât blesse, c’est que les opposants qui sont des Centrafricains, savent très bien que la voie que le président Touadéra suit, est la meilleure en vue de sortir son pays entre les mains de ses ravisseurs. Mais, ils se permettent le luxe de s’opposer à ses œuvres tout en sachant qu’elles sont les meilleures par pure jalousie. C’est pourquoi, le peuple centrafricain doit faire preuve de maturité en s’alignant derrière son leader.
Le moins que l’on peut demander à la population centrafricaine, c’est de continuer à faire preuve de la vigilance de tout ce qui sort de la bouche des ennemis de la paix.
Au demeurant, on reconnait un bon leader politique quand celui-ci prend le peuple au centre de sa vision politique. Les Centrafricains doivent faire confiance à leur président qui est doté des bonnes vertus capables de les faire sortir de la pauvreté et de la crise économique occasionnée par le général de la brousse du fait de ses intérêts personnels et égoïstes. Le peuple centrafricain doit aussi mettre en application ces quatre critères précités pour ne pas aller à contre-courant de la vision de son leader.
