Centrafrique : Touadéra opte pour un régime sans exclusion des couches sociales

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Bangui, le 04 aout 21 n

Depuis des décennies, la République centrafricaine a été victime d’une gouvernance basée sur le clanisme le tribalisme, le régionalisme et le népotisme. Or, dans la devise du pays figure en place l’unité. Avec Touadéra, tout change et intègre une nouvelle vision ou la jeunesse et les femmes retrouvent leur robe de noblesse. L’avenir du pays repose sur la jeunesse, dit-on. C’est pour dire que l’essor d’un pays ne peut qu’être effectif si la jeunesse n’est prise en compte dans toutes les dimensions. Or, durant cette crise les femmes ont beaucoup souffert. Il faut donc repenser une nouvelle gouvernance qui tienne en compte toutes les victimes dans le processus de développement d’un pays post-conflit.

Dans ses déclarations faites à la nation, le président Faustin-Archange Touadéra ne cesse de réitérer sa volonté politique qui est basée sur l’intérêt de son peuple, notamment les jeunes et les femmes qui ont pour mission d’apporter leur pierre à la reconstruction nationale. Depuis son accession à la magistrature suprême de l’Etat, le président Centrafricain ne fait que mettre en pratique ses promesses qui se traduisent continuellement dans les faits.

Les jeunes et les femmes sont impliqués dans toutes les instances de prise des décisions du pays. Il suffit de faire le constat du décor des différentes nominations au sein du gouvernement, à la Présidence de la République, à l’Assemblée nationale, à la Primature, au sein des Institutions de la République, les entreprises parapubliques voire les intégrations dans la fonction publique, des quotas considérables sont réservés à cette frange de la population ce qui limite les frustrations.

Le récent gouvernement que dirige le Premier ministre Henri-Marie Dondra en dit beaucoup de chose avec la présence des femmes et jeunes venus de divers horizons (politique, société civile, confession religieuse, diaspora…). Le mouvement de nomination de Dondra au niveau de la Primature nous laisse convaincre que ce dernier met en actif la vision politique du président Touadéra, avec la présence des jeunes et femmes capables à des postes de responsabilité.

Un pays ne peut être bâti sur des bases solides que si les femmes et les jeunes sont impliqués dans le processus de la reconstruction. Ceci, Touadéra est en train de préparer le vrai avenir du pays qui sera conduit un jour par cette frange de la population. « La politique du président Touadéra rassure puisqu’il  tient compte des jeunes et des femmes. Il a toujours dit que personne ne sera laissé de côté. Voilà qu’il fait impliquer tous ses compatriotes dans sa gouvernance…), A témoigné un observateur de la vie politique tout en parachevant que cette stratégie va les détourner des instrumentalisations dont les impacts sont négatifs sur le pays à travers les rebellions et autres actes visant à détruire le pays.

Le président Touadéra ne doit se laisser guider par des faux conseils de ses entourages. Il doit se mettre toujours à l’écoute de son peuple et non de céder aux baratins politiques de ceux qu’ils veulent le détourner de son dynamisme pour la cause de la jeunesse qui compte sur lui.

L’administration centrafricaine qui, entre temps était vieille constituée rien que des gens épuisés (physiquement et intellectuellement), commence à se rajeunir et c’est ce qui va favoriser la bonne marche des institutions de l’Etat afin que le développement voulu, ne soit plus une utopie.

Voilà ce que les autres personnalités doivent faire. Le président Touadéra et le Premier ministre Dondra ont déjà tracé ouvertement la voie et que les autres doivent leur emboiter. C’est en cela que la République Centrafricaine doit tailler sa place parmi les grandes nations.

@Herman THEMONA, 

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