Centrafrique : Touadéra et Dondra, deux ambitieux bâtisseurs pour la stabilité et le développement durable

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Bangui, le 30 sept. 21

L’histoire de développement d’un pays est toujours jalonnée d’évènements importants qui marquent à jamais les esprits et qui naissent pour prendre position dans les annales de cette histoire, des générations durant. Des évènements façonnés par des hommes qui eux aussi vont y laisser leur empreinte pour l’éternité. On les appelle « les bâtisseurs». Notre histoire à nous est contemporaine et donc très récente. Elle est aussi, déjà très riche et envoûtante. Grâce, tout d’abord, à des hommes et à des femmes qui ont payé de leur vie pour que nous puissions retrouver notre dignité et         tailler une place sur la scène internationale avec l’avènement du président Touadéra à la tête de la RCA.

Grâce à des leaders politiques qui ont pu construire contre vents et marées, un Etat que personne ne donnait la moindre chance de survie en 2013 et qui ont su consolider l’unité, instaurer la paix et assurer la sécurité tout en hissant la souveraineté de notre pays jusqu’au firmament. Permettant à son peuple d’y vivre libre et d’y couler des jours de plus en plus heureux sur cette terre de rencontre et d’échange bénie. De peur d’en oublier, nous ne les citerons pas dans ce dossier destiné exclusivement aux actions menées en faveur du développement économique, sécuritaire, diplomatique et social du Président Faustin-Archange Touadéra.

Loin de vouloir faire son bilan, nous allons effectuer à travers ce dossier, un survol de ses innombrables réalisations, depuis son accession à la magistrature suprême à ce jour. D’emblée, nous pouvons affirmer qu’il appartient à cette famille de grands bâtisseurs qu’a connu le monde car, ce qu’il a entreprit est tout simplement fabuleux. L’espoir pressenti ne fut pas un mauvais flair. Jugez-en !

L’homme de paix…

Elu en 2016 puis réélu en 2020 pour prendre en main la destinée du pays, le président Touadéra arriva au pouvoir nourri d’une volonté de fer et des idées plein dans la tête. Car, ses ambitions de bâtisseur ne datent pas d’hier. La bonté et la sagesse, agrémentées d’un nationalisme sans faille, ont façonné sa carrure d’homme d’Etat et fait de lui cette figure incontournable qui ne cesse de se démener pour la paix dans son pays. Malgré les difficultés économiques et sécuritaires que la RCA traversait ces dernières années de crise, Touadéra a pris  à bras le corps ses responsabilités pour montrer l’exemple et reconstruit, avec  la moindre aide de certains partenaires extérieurs en toute témérité et courage.

Le temps des redressements…

Sur le plan national, sa première action courageuse concerna la paix, la réconciliation, le vivre-ensemble et la sécurité gagent de la stabilité et du développement durable. Une stratégie diplomatique astucieuse et pleine de talent qui avait pour but de les mettre en confiance et d’affirmer sa volonté de consolider davantage encore, les coopérations bilatérales et multilatérales avec les pays frères. Malgré tout, les débuts ne furent pas de tout repos car, l’homme a vraiment eu du pain sur la planche.

Le pays traversait une grosse période de vache maigre où, tous les voyants affichaient un  rouge inquiétant. Et la priorité des priorités était le redressement économique du pays et le renflouage des caisses de l’Etat. Pour entrevoir le bout du tunnel, il prit donc son courage à deux mains et mit rapidement en place un plan de redressement budgétaire drastique rétablissant dans un premier temps, la ponctualité des rémunérations salariales en mobilisant à cette fin, la totalité des recettes indirectes.

 

L’engagement du Président de la République en faveur de la lutte contre l’insécurité et les groupes armés ont vu l’appui des puissances étrangères qui vont avoir confiance à la paix et à la stabilité qui règnent en RCA, il s’agit de la Russie, le Rwanda, les USA, la Chine pour ne citer que ceux-là. Cet afflux d’armada d’appui au régime de Touadéra apporta dans un premier temps, une bouffée d’air qui va permettre à l’Etat de redresser légèrement la barre et de souffler. Sans oublier tous les examens de passage réussis, imposés  par le FMI et la Banque Mondiale, pour établir  un ajustement structurel rigoureux et contraignant.

L’homme d’Etat ne se contente pas de cela et mijote ses propres idées pour tirer son pays de ce marasme économique. Conscient de la fragilité du pays et de son extrême pauvreté, Touadéra a toujours été convaincu qu’un réel redressement de la situation passe obligatoirement par l’éducation de la jeunesse, la formation des agents de l’Etat, l’amélioration du fonctionnement de l’administration, la modernisation et le développement des infrastructures  pour augmenter les prestations de service, améliorer leurs qualités, attirer des investissements et créer des emplois.

Les grandes réformes…

Pour que la jeunesse puisse avoir une meilleure chance d’intégration dans la vie active et sociale, le Président Touadéra s’est donc fixé comme priorité, l’accès à l’éducation et la santé pour tous. Et vu le taux de scolarisation actuel voire l’accès aux structures sanitaires, les progrès réalisés dans ce domaine sont énormes. Avec la multiplication des établissements publics à tous les niveaux.

Parallèlement, le Président Touadéra va très vite, mettre en place un programme de développement économique et social ambitieux qui soit en mesure de répondre à l’attente populaire et au besoin du  pays. Un tel programme a nécessité le lancement tous azimuts de réformes, toutes importantes les unes que les autres, et dont la principale reste de loin la réforme de l’administration publique. Ces réformes ont été engagées pour moderniser les outils administratifs, rehausser les compétences des agents de l’Etat afin d’améliorer l’efficacité des services et leur rendement.

 

En effet, le pays possède d’innombrables atouts et le Président Touadéra le sait. Sa position géostratégique est de plus en plus enviées, sa monnaie en parité fixe avec le dollar américain est librement convertible, son système basé sur une économie libérale est avantageux pour tous les types d’investissements. C’est la raison pour laquelle, il a fait du développement des infrastructures de service sa seconde priorité nationale. Dès lors, il va se mettre au travail et attirer des investissements importants qui vont permettre de lancer la construction des infrastructures publiques du pays, notamment les routes, les bâtiments administratifs, les hôpitaux et bien d’autres. Ce saut impressionnant va hisser la RCA à un rang honorable à l’échelle mondiale.

Mieux, ce premier pas va créer un environnement hyper favorable à toute sorte d’investissements, favoriser une bonne croissance économique, offrir beaucoup d’emplois et consolider les ambitions du pays. Si la RCA rêve depuis longtemps d’une intégration régionale qui n’aboutit toujours pas, le Président Touadéra et l’actuel Premier ministre Henri-Marie Dondra ont  tous deux, réussi à poser les jalons d’une intégration régionale.

Et ce n’est pas fini !

Grâce à son plan « RCA Vision 2030 », qui définit l’orientation de la politique nationale de développement et son cadre de planification, la République Centrafricaine s’est investie pour réussir son programme d’intégration régionale et son ambition de rejoindre rapidement le club des pays émergents. Sous la houlette du Président de la République, le pays a commencé à se préparer et à consolider son capital humain. Il a mis en place tous les outils nécessaires permettant d’ouvrir la voie d’une économie diversifiée et compétitive, bientôt propulsée par un secteur privé puissant et performant.

La paix, l’unité nationale et la bonne gouvernance étant les conditions incontournables pour le triomphe d’un tel plan. Pour combler le manque de production nationale, le Président va engager un programme de développement industriel et favoriser la création d’unités manufacturières capables d’alimenter le marché local.

Avec l’achèvement de toutes ces réalisations et les projets d’envergure programmé à court terme, la République Centrafricaine a effacé d’un revers cette image de cité d’instabilité  qui lui collait jusque-là à la peau et qu’une certaine presse internationale malveillante ne cessait de véhiculer en affirmant injustement que le pays va mal. Touadéra et le gouvernement que dirige le premier ministre Henri-Marie Dondra ont démontré qu’il n’en était rien et que le pays possède d’immenses potentialités capables non seulement d’assurer son développement dans tous les domaines ; mais également, de bâtir ses propres richesses pour éradiquer la pauvreté et combler les besoins de l’ensemble de sa population. La position stratégique de la RCA étant  une source de richesse sûre et intarissable qui vient du Ciel. C’est-à-dire, un immense don de Dieu. Tout simplement !

@HERVE BINAH, 

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