Bangui, le 02 aout 21
Le président Faustin-Archange Touadéra a été réélu à la tête du pays pour un mandat de cinq ans. C’est à ce titre qu’il prend à bras-le-corps les véritables problèmes de son pays. Certaines provinces, autrefois zones d’insécurité retrouvent progressivement la quiétude. Ce contraste spectaculaire avec la situation sociopolitique marque le retour en force de la RCA sur le chemin du développement et de la stabilité sans oublier la situation diplomatique qui évolue dans le bon sens, même si certains pays n’en veulent pas. La RCA qui se redresse est-elle enfin sortie de la zone de turbulence ? Quel est le chemin vers une paix durable ? Une question qui taraude les esprits des uns et des autres.
La poursuite des actions pour la reconstruction nationale, c’est cet objectif sur lequel s’appuie le président Touadéra qui inscrit progressivement son nom dans les annales de l’histoire de son pays.
Mais bien que des questions soient réglées dans le domaine sécuritaire, et tout d’abord celle de l’achèvement du processus de DDRR, la réconciliation et la justice sont en marche avec la traduction des bourreaux du peuple et la mise en place de la Commission, vérité, justice, réparation et réconciliation (CJVRR). A vrai dire, le président Touadéra s’érige en un pionnier qui est four et au moulin.
« J’ai décidé de répondre favorablement à l’appel de mes concitoyens (…), je me battrai pour la reconstruction de notre pays », dixit le président Touadéra tout en pensant que le développement économique et social est le moteur de la pacification du pays.
La croissance économique a donc été mise au cœur de la vision politique du président Touadéra. Des investisseurs sont attirés par le marché centrafricain, grâce au dynamisme économique du pays et notamment aux discours du président Touadéra, présentant la RCA comme un pays émergent. « J’avais promis… », a-t-il toujours répété avant de lister ses réalisations : de la population à l’accès l’eau potable ; le taux d’accès à l’électricité ; le taux d’accès aux services de santé et à l’éducation ; la construction des infrastructures publiques ; et le taux de la croissance économique qui devrait tourner autour de 7% à 8%, selon le FMI, place la RCA dans le peloton des pays les plus dynamiques.
Sous la gouvernance du président Touadéra, il faut reconnaitre que la liberté d’expression est une réalité. Aucun leader d’opinion n’est inquiété pour des raisons politiques. Contrairement aux mauvaises interprétations de certaines personnes malintentionnées, le pays avance et son image change constamment. Aujourd’hui, on peut dire sans hésitation que le pays est en chantier. Les infrastructures poussent dans la ville de Bangui comme des champignons. Des bâtiments administratifs en passant par la modernisation de l’aéroport Bangui M’poko qui est en cours et les travaux de l’axe qui relie l’aéroport et le centre-ville commence déjà.
Il suffit de faire un tour dans la ville de Bangui pour se rendre compte des avancées spectaculaires. Le secteur privé est également valorisé, ce qui permet effectivement aux opérateurs économiques de traduire dans les faits, leurs contributions pour la reconstruction nationale. Le bilan élogieux du président Touadéra ne fait que s’accentuer pour le bonheur de ses compatriotes. De la diplomatie à la coopération en passant par la restauration de sécurité sur toute l’étendue du territoire national, Touadéra est en train de marquer son passage à la tête de l’Etat centrafricain.
@Simon Gbokoché,
