Centrafrique : pourquoi un dialogue de plus tant réclamé par la CPC et la COD-2020 ?

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Bangui, le 14 janv. 21

Les va-t-en-guerre ont épuisé tous les plans de déstabilisation et ils sont désormais dos au mur. Ces hommes sans foi ni loi doivent normalement être arrêtés et traduits devant les juridictions compétentes pour répondre de leurs actes. Cette bande des hors-la-loi, regroupés au sein de la COD-20 qui soutient la CPC veut partout les moyens recourir au dialogue. A quoi servira ce dialogue ?

Nous ne sommes plus dans une République bananière comme pensent la COD-20 et son allié de la CPC. Ce n’est qu’en Centrafrique qu’on tolère des actes barbares venant de la part de ceux qui se réclament opposants démocratiques. Sous d’autres cieux, la COD-20 devait depuis fort longtemps être dissoute.  Il appartient au régime en place légitimement élu, d’appeler les Centrafricains à se retrouver autour d’une table pour dialoguer au moment où le besoin se fait sentir.

Ils ont tout mis en œuvre pour écourter le règne du président Touadéra, mais ils n’ont pas pu. Pour la COD-20, il faut un énième dialogue pour leur permettre de s’enrichir au prix du sang des centrafricains. Le peuple centrafricain se réjouit car le président Touadéra a mobilisé tous les moyens pour la réussite des élections groupées du 27 décembre 2020. La réussite du scrutin du 27 décembre 2020 avait permis la réélection du président Touadéra pour un second mandat.

Pour le moment, tous les regards sont braqués sur la Cour Constitutionnelle pour la confirmation de la victoire du président Centrafricain réélu dès le premier tour. La réussite de ces élections groupées constitue un échec dans le camp de l’opposition et la CPC de Bozizé. Pour mémoire, la COD-20 et la CPC de Bozizé ont appelé au boycott des élections pour leur permettre de prouver à l’opinion nationale et internationale que l’insécurité persistante du pays ne favorise pas la tenue des élections.

Malgré tout cela, ces hommes sans foi ni loi continuent de mener des attaques contre la paisible population centrafricaine à l’intérieur du pays, une manière d’influencer le régime en place de céder à leur menace. Une très mauvaise démarche menée par la CPC et la COD-2020 qui d’un côté, massacrent les Centrafricains, et de l’autre côté réclament un dialogue. Oui ! Ils veulent toujours le dialogue des hypocrites qui va leur permettre d’accéder à des postes ministériels, et c’est le peuple qui restera la victime.

Ils sont désormais exposés au grand jour, le président Touadéra est un homme politique averti. Donc, plus question de jouer avec des maux pour satisfaire des intérêts personnels et égoïstes. Avec le président Touadéra, c’est l’intérêt supérieur qui prime.  Pour cela, au nom de cet intérêt général, pour ceux qui sont complices, auteurs, co-auteurs de la CPC, doivent payer le prix de leurs « péchés ».

Il n’est plus question d’un éventuel dialogue avec eux, car ils ne peuvent pas à grand jamais remédier à leur plan qui n’est autre chose que la déstabilisation du pays.  Il est grand temps d’en finir avec ces hors-la-loi, ces vampires qui ne vivent que du sang du peuple centrafricain.

De tout ce qui précède, ces hypocrites veulent le dialogue pour échapper à la justice. Ils oublient que le président Touadéra a toujours accordé une liberté totale à la justice pour faire son travail. Donc, plus question de dialogue avec des hors-la-loi, qui brillent dans l’hypocrisie.

@Herman THEMONA, 

 

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