Centrafrique : L’Université de Bangui, une boite à réformer coute que coute…

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Bangui, le 21 déc. 17

Elle faisait la fierté des Centrafricains quand feu Jean-Bedel Bokassa l’a institué en dans les années 70. C’était la toute première université d’Afrique Centrale. Elle est en train de devenir la risée des autres institutions universitaires venues pourtant des années plumards. Et à qui la faute ?

Nous n’accusons personne. Et nous ne décrions pas le processus de recrutement des responsables des différentes facultés qui composent les départements de l’Université de Bangui. Cependant, il est nécessaire de dire à haute et intelligible voix qu’il y a au sein de l’Université de Bangui, une filière pour ne pas dire un réseau de mafieux responsables et enseignants qui sont en train d’instrumentaliser et de formater en une machine de mafieuse politique d’enrichissement répondant à d’égoïstes profits. Le cas de la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion (FASEG) est le plus flagrant des cas à cause de son fameux Doyen Emmanuel MBETIDE.

Jusqu’à quand les hauts responsables de l’enseignement supérieur en particulier et de l’éducation ne général comprendront-elles que la seule Université du pays, que personne ne peut bâtir à l’exemple de feu Jean Bedel Bokassa est en en train de battre de l’aile et devra plonger sans vergogne dans une profondeur d’océan jamais atteint par le plus performent sous-marin.

N’est-ce pas véritablement un danger susceptible de propulser la Centrafrique vers sa mise définitive sous tutelle des Nations Unies ? On court vraiment le risque si des énergumènes et des mafieusis tel que le doyen de la FASEG continuent de tout mettre en œuvre et contribuer à la baisse des niveaux, car monnayant les notes ou attribuant les notes contre fesse.

C’est regrettable qu’une seule et unique Université, œuvre d’un clairvoyant fils du pays tombe dans une incomparable bassesse à cause de l’énorme degré de bassesse de ses dirigeants. Il y a lieu de vraiment ouvrir les yeux pour ne pas dire l’œil sur cette seule et unique université si l’on tient au véritable renouvellement des cadres de demains. Un SOS est lancé pour que les hauts responsables de l’enseignement supérieur et de l’éducation consacrent des efforts pour le revigoration de ce joyau  que feu Bokassa nous a laissé.

Attention, les étudiants de la FASEG ne sont pas dupes. Ils sont en train de projeter, et cela n’est pas une trahison, mais plutôt un alerte pour que le scandale en préparation soit éteint à temps.

Affaire à suivre !!!

 

 

 

 

 

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