Bangui, le 12 février 21
Le Centrafrique à l’instar des autres pays d’Afrique devait user de son autorité pour sortir de la crise mais la crise qu’a connue le pays relève d’une source lointaine qui implique certaines organisations internationales qui n’arrivent pas à imposer leur autorité.
La ministre des affaires étrangères, Sylvie Baïpo Temon aurait déclaré que certaines organisations internationales n’ont pas la volonté politique voire la détermination pour assumer leur responsabilité, disant de s’engager véritablement dans la résolution de la crise centrafricaine. Autrement dit, la communauté internationale devrait soutenir efficacement la RCA face aux ennemis qui menacent la quiétude du peuple centrafricain, n’eût été la main forte des amis russes et rwandais qui font un travail remarquable sur le terrain.
La RCA n’est le terrain de jeu des organisations internationales, continentales et sous régionale qui ne veulent pas de sa stabilité. Comment maintenir la paix dans un pays où on ne l’entretien pas bien avant ? Souvenons-nous qu’en 1994 l’année du génocide au Rwanda, certains ont retiré leurs troupes de la MINUAR, abandonnant les rwandais à leur triste sort. C’est un échec total dû à un manque de volonté politique, car les compétences des organisations internationales sollicitées pour la gestion des crises, sont assujetties à la volonté des Etats membres.
Avec la crise que le pays vient de confronter, au lieu d’aider les autorités du pays à résoudre le problème confronté, on préfère occasionner la guerre et le soutenir pour envoyer par après, des denrées alimentaires pour compassion et de négocier d’une part aux rebelles qui font des crimes sur les populations civiles.
Ce qui est absurde par les organisations internationales voire régionales, elles empêchent les FACA à accomplir leurs missions. Même la présence des forces russes aux côtés des FACA, les gênent alors que ces forces russes contribuent véritablement à la stabilité du pays. Dans d’autres pays, quand l’ONU a failli à sa mission, on la remplace automatiquement. Ceci dit, l’ONU n’arrive pas à résoudre les crises dans les pays en difficulté. Il y’a lieu de trouver une autre alternative à la crise centrafricaine, celle de compter sur les partenaires pragmatique comme la Russie qui est prête à accompagner les autorités du pays dans la reconstruction nationale.
@JLG,