Ils s’appellent Bernard Cousin et Christophe Raineteau, deux sujets français qui se sont lancés depuis un certain temps dans les manœuvres qui visent à déstabiliser le régime de Bangui. Ces comploteurs contre le peuple centrafricain ont été dénoncés publiquement par le Chef de l’Etat Faustin Archange TOUADERA au cours d’une interview sur la chaîne télévisée de France 24.
Au cours de cette interview le Président TOUADERA a indiqué que Bernard Cousin et Christophe Raineteau manipulent certains hommes politiques, groupes armés et une partie de la société civile centrafricaine dans le seul objectif de déstabiliser le régime démocratique de Bangui.
Selon le Chef de l’Etat centrafricain, le récent regroupement des groupes armés à Kaga-Bandoro fait suite au plan machiavélique de ces sujets français avec le Chef rebelle Abdoulaye Hissen qui communique régulièrement avec eux et ce plan consistait aux différentes fractions qui s’étaient retrouvées à Kaga-Bandoro de marcher sur Bangui. Mais ceci a échoué suite à l’opposition de certains groupes armés de ce fameux plan de destitution des institutions nationales.
Poursuivant, le Président TOUADERA a indiqué que les évènements de FATIMA ont été prémédités et sont également l’œuvre de ces ennemis de la République qui ont voulu ainsi créer une crise intercommunautaire.
Ce que l’on peut ajouter à tout ceci c’est les actions de troubles à l’ordre public orchestrées juste après les évènements de FATIMA par une frange de la société civile centrafricaine qui est à la solde de ces comploteurs de la nation car ayant échoué avec les groupes armés il était question pour ceux-ci de créer les troubles dans la ville de Bangui afin de fragiliser le pouvoir pour parvenir à le destituer.
Il faudrait noter que le Chef de l’Etat a prévenu que le danger n’est pas encore écarté donc il revient à chaque compatriote épris des vertus de paix et de la cohésion sociale de doubler de vigilance afin de barrer la route à ces ennemis du peuple centrafricain.
Bienvenu ANDALLA,
Les constats ayant été faits, doit-on continuer à laisser ces énergumènes troubler la tranquillité et la quiétude des pauvres centrafricains.
Je crois qu’il faut penser aux choses sérieuses.
Pouvoir du peuple, par le peuple pour le pleuple: ce terme démocratie n’a pas de sens dans son application, le peuple centrafricain souffre, une République que le gouvernement se trouve dans l’incapasité de controler ou d’arreter un groupes des malfaiteurs qui s’installent à 5 km du palais? Tous ce que nous voullons c’est la paix la paix et rien que la paix.
[…] Source: Le Potentiel Centrafricain […]