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Centrafrique : Le KNK n’est plus en odeur de sainteté à cause du passé malfaiteur de Bozizé à la tête du pays

Former Centrafrica's President François Bozize (L) and National Convergence Kwa Na Kwa (KNK) party general secretary Bertin Bea (R) greet the crowd in the Boeing district of Bangui, on December 21, 2019. - The former president of the Central African Republic (CAR), Francois Bozize, has returned to the country, more than six years after he was forced from power and fled abroad, his party told AFP on December 16, 2019, in a claim rejected by the government. Bozize faces an international arrest warrant, initiated by the CAR in 2013, for crimes against humanity and incitement to genocide. (Photo by FLORENT VERGNES / AFP)

Bangui, le 27 août 2020

Le parti KNK de François Bozizé n’est qu’une coquille vide, bien déserté par ses militants qui le quittent de jour en jour comme l’URCA d’Anicet-Georges Dologuélé. Il suffit de faire le tour de tous les arrondissements de Bangui et les provinces pour comprendre que les centrafricains détestent amèrement le KNK.

Le régime de Bozizé dispose d’un passé sombre avec les différents crimes commis par ses « tu me connais ». Les victimes de Bozizé sont là et réclament qu’il soit emprisonné pour ses actes criminels. Combien de personnes Bozizé et ses brigands ont tué ! Combien d’argent de l’Etat ils n’ont pas volé ! Combien des maisons n’ont pas été confisqué !

La liste est tellement très longue et la justice est prête à faire son boulot, celui de traquer Bozizé et ses siens afin qu’ils répondent de leurs actes.

Tout le monde sait que la candidature de Bozizé pour la prochaine présidentielle a été imposée par certain de ses caciques. Or, le KNK n’est plus populaire après son congrès d’échec. Bozizé doit savoir qu’il n’a plus sa place au quartier, plutôt à la prison.

@Alain TIKOUZOU,

 

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