Centrafrique : Le bilan du premier quinquennat du président Faustin Archange Touadéra positif et favorable pour sa réélection

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Bangui, le 13 déc. 20

Il nous souvient il y a quatre ans lorsque le peuple centrafricain frôlait de justesse, son génocide, le pays devrait donner une autre image pour favoriser son émergence. C’est dans son contexte que le président Faustin Archange Touadéra avait eu la confiance du peuple et de nos jours à la fin du premier mandat, le bilan est parlant et favorable pour sa réélection.

Après la pluie des exactions commises sur les paisibles citoyens centrafricains par une guerre imposée de l’extérieure sous forme d’une crise intercommunautaire entre chrétiens et musulmans, la République centrafricaine a saisi l’occasion pour tourner sa sombre histoire grâce aux élections de 2016 mettant  où le Pr. Faustin Archange Touadéra a été déclaré vainqueur grâce à son projet de société, favorable au  processus de relèvement et de consolidation de la paix. Le chemin long et périlleux, mais le mathématicien de Boy-Rabe avait une carte à jouer avec un système d’équation à plusieurs inconnus.

Ses réalisations en témoignent  davantage son engagement à garantir à tous les Centrafricains du nord au sud et de l’est à l’ouest et, de toutes les catégories sociales, des villes et des villages du pays, de vivre dans les meilleures conditions de vie. Le temps est donc laissé au temps pour témoigner de ces réalisations. C’est la raison pour laquelle, on peut dire sauf mauvaise foi qu’il a gagné son pari : « le peuple centrafricain est très reconnaissant des actes posés par le président Touadéra depuis son accession à la magistrature suprême de l’Etat, ce patriote ne cache pas ses intentions de sortir le pays de son hécatombe par des multiples projets et réalisations pour le bien-être de ses populations », a témoigné une source politique centrafricaine

 Comme pour résoudre une crise, il faut un engagement patriotique, le champion du MCU a opté pour le premier plan la politique de la main tendue à tous les Centrafricains même pour les groupes armés. C’est dans ce contexte que la sécurité devrait se résoudre par le canal du dialogue et la signature d’un accord de cessez-le-feu. Pour y parvenir, le chemin de la paix sera ouvert grâce à un document qui sera négocié dans la capitale soudanaise Khartoum et sera signé à Bangui le 06 février 2019 au nom de l’Accord Politique pour la Paix et la Réconciliation en République Centrafricaine signé entre le gouvernement et les groupes armés. Les dividendes de ce document ont favorisé l’émergence de secteurs tels que :

La réconciliation nationale : Si on regarde aujourd’hui sur l’ensemble du territoire, la chaine judiciaire et s’est vite mise en place grâce à la politique de la main tendue. Pour vibrer au même rythme de la volonté du peuple exprimée par le Forum de Bangui et la Constitution du 30 mars 2016, la Cour pénale spéciale (CPS) s’est opérationnalisée et la commission nationale des Droits de l’Homme est mise en place pour faciliter les droits et libertés humaines mises à caution depuis la crise militaro-politique déclenchée avec la formation de la coalition séléka et l’émergence des groupes d’auto-défense. Un réseau des comités locaux pour la consolidation de la paix est créé sur toute l’étendue du territoire national. Et pour en mettre un terme à une longue période d’impunité et donner espoir aux victimes,  la Commission Vérité, Justice, Réparation et Réconciliation a été créée. La mise en œuvre de la stratégie de réconciliation, est enclenchée.

Sur le plan sécuritaire, l’infatigable Chef de l’Etat Faustin Archange TOUADERA qui a fait serment devant Dieu et devant son peuple, a fait de ce secteur, une priorité pour la pacification de son pays.  Et pour changer et rompre avec les vielles recettes, il fallait donner un nouveau souffle à l’armée qui, dans un passé récent, était déjà politisée, régionalisée et ne répondant plus aux aspirations de la population. Ainsi, les  milliers de jeunes ont été recrutés dans les FACA, dans la Gendarmerie  la Police et dans les services douaniers. Avec la coopération bilatérale et multinationale, les FACA sont dotés des matériels de guerre à la hauteur de la modernité, les moyens roulants et autres. Plusieurs postes de polices de proximité sont installés dans des zones stratégiques de la capitale Bangui pour la protection des personnes et des biens et pour favoriser la fluidité de la circulation dans les zones autrefois considérées comme des grands bouchons.

Pour répondre à l’éternel problème infrastructurel, le candidat du MCU s’est lancé dans la réhabilitation de plusieurs édifices administratifs et la construction de certains pour faire entrer le pays dans le concert des grandes nations développées car, point de développement sans infrastructures. On peut citer pour immortaliser notre thèse, le Building administratif de Bangui, en état de délabrement avancé depuis plusieurs années, celui de Sibut et de Bouar l’Ecole Normale de Police, l’Hôtel des Impôts, le pont Sapeké et de Bamingui, l’éclairage de la ville de Bangui et ses environs par les lampadaires solaires, la Mairie de Bimbo et de Bouar, le BARC, la cité Christophe qui symbolisent les institutions de l’Etat. Ainsi certaines structures sociales comme le marché de Bimbo et Sibut, synonyme de  la relance de l’Economie et de la vie active.  Bambari, Mongoumba, Sibut, le Chef de l’Etat Faustin Archange TOUADERA a marqué positivement son histoire.  de Bangui est éclairée, des lampadaires sont installés

Sur le plan sanitaire, la République centrafricaine a bénéficié grâce à la vision sociale, dee la couverture sanitaire gratuite pour les enfants, les femmes enceintes et une gratuité  des soins de certaines maladies comme le VIH/SIDA, le Paludisme, le Coronavirus, et bien d’autres. On se souvient qu’en 2019, le Chef de l’Etat avait axé pour le bonheur de sa population, dix domaines d’impulsions présidentiels de la couverture santé universelle : le rapprochement des services de santé à la population, l’accès aux médicaments, la vaccination et la lutte contre l’épidémie (La RCA est déclarée, le champion de la vaccination), la lutte contre le VIH/SIDA (déjà en nette régression), la lutte contre le paludisme, la nutrition, l’eau et l’assainissement, l’éducation des filles et les accouchements sûrs.  Tout ceci couronné par la création de nouveaux centres spécialisés comme le Centre nutritionnel du Complexe Pédiatrique de Bangui, le Centre d’Imagerie médicale et le Centre d’hémodialyse.

Puisque la jeunesse est le fer de lance de la nation, le président Touadéra a renforcé le système éducatif centrafricain avec les intégrations au sein de la fonction publique, des ressortissants de l’ENS et le paiement régulier des frais de vacation. Plus de 280 salles de classe ont été construites ou réhabilitées dans l’Ouham, Bamingui-Bangoran, l’Ouham Pendé, la Nana-Mambéré, la Lobaye, la Nana-Gribizi, la Ouaka et au lycée de Miskine  et les projets de clôtures des établissements secondaires et universitaires à Bangui en plus de 1050 autres salles de classe réalisées dans 8 Préfectures.

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