Bangui, le 12 mai 2018
De sources crédibles et dignes de foi les journées ville mortes organisées les vendredi 4 et mercredi 9 mai 2018 ainsi que les récentes violentes attaques terroristes contre la paroisse Notre Dame de FATIMA et certains quartiers du 3ème arrondissement de Bangui, qui endeuillé de nombreuses famille à Bangui, sont la résultante d’une manipulation politique orchestrée par la France à travers sa représentation diplomatique à Bangui,
En effet, ces sources indiquent que les leaders du Groupe de travail de la société civile centrafricaine (GTSC) qui sont auteurs de ces journées « ville morte », ont reçu une coquette somme de trente millions de Francs CFA (30.000.000 FCFA) des mains de l’Ambassadeur de France en Centrafrique Christian BADER pour leur permettre de mettre en exécution leur plan machiavélique d’incitation à la désobéissance civile afin de fragiliser le pouvoir de Bangui et pour qu’au finish, aboutir à sa destitution.
Il en est de même pour les terroristes du PK5 qui ont également reçu d’importante somme d’argent des mains de leurs parrains ce qui leur a permis de déclencher les hostilités à partir de l’attaque de la paroisse de FATIMA où ils ont massacré des dizaines de fidèles dont l’abbé Albert TOUNGOUMALE BABA.
C’est maintenant que l’on comprend aisément que la France est résolument engagé à mettre les bâtons dans les roues du régime démocratique du Président Faustin Archange TOUADERA. Et c’est la principale mission qui est confiée au diplomate Christian BADER qui étant connu un début d’échec concernant sa mission, a été rappelé par l’Elysée pour être soumis un recyclage avant de revenir à Bangui.
L’on apprend que c’est la présence et la montée en puissance des russes qui suscitent cette jalousie de la France qui se voit désormais des richesses minières de la RCA dont elle a toujours fait de sa garde-chasse. C’est là où le peuple centrafricain comprend maintenant et aisément que la politique de la France en vers la RCA consiste à la maintenir dans un cycle d’instabilité afin qu’elle en profite d’exploiter illégalement ses richesse naturelles.
Herman THEMONA,