CENTRAFRIQUE : DROIT DE REPONSE DE SANI YALO AU JOURNAL CORBEAUNEWS SUITE A L’ARTICLE INTITULE « RCA : VASTE OPERATION DE PILLAGE DE L’AMBASSADE DE LA LIBYE A BANGUI, SANI YALO A LA MANŒUVRE »

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28 JUILLET 2020

Il y a des métiers qui ne méritent pas certaines gens, mais aussi des gens qui ne méritent point certains métiers. Le journalisme, loin d’être une activité pour scribouillards en mal de posture requiert un devoir de vérité, de probité et d’expertise qui s’accommode difficilement avec le dilettantisme et les louvoiements qu’il inspire.

Hélas, certains journalistes-mercenaires, s’adonnent allègrement à cette déchéance publique du métier hautement républicain de journaliste. Ils vont de chapelle en chapelle, à la recherche de leur pitance, sans foi ni loi. A l’évidence, une certaine Gisèle Moloma, une plume errante qui vogue depuis appartient à cette espèce rare de gens typiquement nuisibles  à la noblesse des métiers de la communication et de l’information.

En effet, l’investigation fait vivre le journaliste qui s’y spécialise et la moindre chute de tension ou de visibilité en ce domaine se paie vite d’une déchéance professionnelle aux conséquences inévitablement fâcheuses pour le standing quotidien de l’expert.

Ainsi, en quête de sujets croustillants pour fournir sa gibecière de personnalités politiques détruites, Gisèle Moloma un pseudonyme dont on connaît bien le quidam qui se cache derrière et qui n’est autre le fameux Directeur de Publication du site d’information Corbeaunews a dû succomber à une irrésistible tentation : celle de passer du journalisme d’investigation au journalisme d’inquisition. De l’art de l’enquête à celui du bûcher. Foulant au passage au pied, un principe juridique universel: la présomption d’innocence. Car rien de cet article consacré par Gisèle Moloma de Corbeaunews à couvrir Sani Yalo des plus grossières diffamations jamais inventées contre lui ne se fonde sur le moindre début d’assise factuelle.

Affirmer sans la moindre preuve que depuis plusieurs mois, l’ambassade de la Libye à Bangui est la cible d’une vaste  opération de pillage Co organisée par le patron du BARC (bureau d’affrètement routier), Monsieur Sani Yalo, en complicité avec le chargé d’affaires de la Libye et de quelques complices camerounais et centrafricains est d’une extrême gravité quand on connaît bien les valeurs de celui qui est mis en cause.

Comment ne pas s’étonner d’abord de la synchronisation de l’accusation alléguée et de la médiatisation qui révèlent une indéniable complicité entre la diffamation organisée et le journaliste en mal de scoop ?

L’ambassade de la Libye en Centrafrique n’est pas une case encore moins une cuisine pour que son pillage puisse passer inaperçu. Pire Encore, le sieur Sani Yalo n’est pas à un groupe électrogène prêt moins encore  les climatiseurs et les caméras quand on connaît l’œuvre titanesque que Sani Yalo est le Chef pour la gloire de ses compatriotes. Dire qu’il a emporté un groupe électrogène et les effets militaires pour le compte de Touadera est une grossière invention qui n’honore pas le Directeur de Publication de Corbeaunews qui n’est autre que Patrick Dalemet  qui a perdu l’usage de ses yeux des suites des pratiques mafieuses (escroquerie) dans lesquelles il excelle. Et voici un voleur qui crie au voleur ! Heureusement que le ridicule ne tue pas le Centrafricain.

Le journalisme loin d’être un copier-coller pour faire la sensation est l’art d’informer par des faits avérés. Et comme par hasard Sani Yalo n’assure pas l’intérêt de Corbeaunews et son Directeur de Publication, il est traîné dans la boue. En voilà l’hommage du vice à la vertu ! Décidément le nom de Sani Yalo fait vivre les journaux qui en font les choux gras, en témoigne cette sortie hasardeuse de ce site tendancieux qu’est Corbeaunews à la solde d’un parti en perdition.

Ils sont nombreux, dans ces médias instrumentalisés, qui rêvent de voir se glisser l’épaisseur d’une feuille de cigarette entre le président  de la république Faustin-Archange Touadera et son Conseiller, Sani Yalo. Ils peuvent toujours courir. L’histoire les fera à jamais languir. Gisèle Moloma appartient précisément à cette secte des rêveurs de haine, qui se réveillent chaque matin avec de violents maux de tête chaque fois qu’ils voient se multiplier des preuves éclatantes de la bonne et parfaite entente entre le Chef de l’Etat Touadera et son inconditionnel soutien qu’est Sani Yalo.

Les œuvres de Sani Yalo sont légions en Centrafrique au lieu de chercher par tous les moyens à l’incriminer, vous feriez mieux de reconnaitre qu’il est un bâtisseur. Comme le résume bien cette maxime, « Quand on aime pas la gazelle, on reconnaît au moins qu’elle court vite ».

@Agence de Presse en Ligne Qui dit Mieux

http://kidimieux.over-blog.com/

 

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