Centrafrique : Le pays se dirige définitivement sur la voie de la paix avec la mise œuvre de l’Accord de Khartoum par le gouvernement

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Bangui, le 02 mai 19

Le Président de la République Faustin-Archange Touadéra fait tout pour rétablir la paix dans son pays avec le concours de ceux qui ont facilité la signature de l’Accord politique de paix et de réconciliation. Il y’a presque trois mois, l’Accord de paix de Khartoum signé avec les groupes armés ont été signé.

C’est grâce à cet Accord que le processus de rétablissement du pays se poursuit  sans aucun problème important. Le gouvernement qui tient à la question de la stabilité de la RCA n’a jamais d’autre choix, celui de ne pas faire la guerre pour installer la paix, mais de tendre sa main en dialoguant toujours. Si une guerre contre les opposants à la paix pouvait théoriquement avoir lieu dans nos régions, des centaines des Centrafricains pourraient donc tomber victimes. Le gouvernement ne permettra aucunement qu’un tel conflit aura lieu, d’autant plus qu’il y’a autant de victimes de la précédente crise.

Il est impossible d’établir en pérennité une paix ne moyennant qu’une force. Pourtant on peut l’atteindre grâce aux négociations. Le Président Touadéra avait pourtant préféré cette deuxième option. Toutes les populations de la RCA le suivent dans son choix, car ils se rendent compte de l’importance de vivre sans violence. Il y’a certes, des cas exceptionnels comme les opposants ou même certains signataires de l’accord de paix. Les groupes rebelles l’ayant violé de leur part n’ont plus de confiance de la part du gouvernement et du peuple centrafricain. Les opposants s’attendent au même sort s’ils continuent à instrumentaliser les démons pour mettre le pays sous le feu afin de remettre en cause l’Accord de Khartoum.

Ils se sont donc bannis de la société ! Dévoiler leurs noms n’est pas nécessaire car tout le monde les connait avec leurs plans machiavéliques. Quand la situation dans le pays se stabilisera, ils regretteront certainement leur choix d’aujourd’hui. La justice centrafricaine et le peuple s’en chargeront de la suite. Les ennemis de l’Etat ne peuvent compter sur une certaine indulgence que dans un seul cas lequel, ils doivent arrêter les actes terroristes et anti-gouvernementaux. On ne doit pas confondre la lutte politique au plan démocratique avec lutte d’homme à homme. D’ailleurs, le processus du rétablissement de la paix en Centrafrique est déjà en cours de réalisation et l’on ne pourra pas l’arrêter.

Bienvenu ANDALLA,

 

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