Centrafrique : Quand la Brigade et la Mairie de Bégoua baignent dans le racket des mototaxis et les vendeurs à la sauvette

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Le constat est amère pendant les heures de pointes (6h à 8h et 18h), où il est difficile aux usagers de circuler librement comme il se doit sur cet axe. Un phénomène très récurrent et qui est pratiqué au vu et au su des forces de l’ordre et les agents municipaux présent sur les lieux.

Pendant que ces derniers se contentent de cette pratique qui les honorent pas, les moto taxis et les vendeurs à la sauvette envahissent la voie jusqu’à la barrière, qui est un lieu stratégique, permettant aux forces citées ci-haut de bien veiller aux sorties et entrées de tous les véhicules et les personnes.

Selon les témoignages recueillis auprès de ces vendeurs : « Ces forces attendent juste à ce que, si c’est une haute personnalité qui est en train de passer, ils se bousculent, faisant un petit semblant de mettre de l’ordre ou encore de travailler ». Ils ne font que confisquer les clés des motos pour des 500f. C’est l’histoire du racket pour des miettes.

Voilà comment les forces de l’ordre et agents de la Mairie sont complices du désordre qui règne au niveau de la barrière du Pk12 et les axes de deux sorties nationales. Sont-ils conscients du danger que ce désordre représente ? Oui, s’il faut l’avouer. Mais, pour ces forces de l’ordre voire celles de la sécurité qui sont censées de faire régner la libre circulation, c’est les pécules des moto taxis et les vendeurs à la sauvette qui les intéressent un point c’est tout. C’est regrettable !

@Herman THEMONA, 

 

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