Centrafrique : il souhaite le départ du PM Sarandji pour nuire au régime du président Touadéra ?

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Bangui, le 21 février 19

A l’allure où l’actualité politique évolue en Centrafrique, les ennemis de la paix, notamment les hommes qui sont farouches au régime de Touadéra mettent en place une terrible stratégie de l’effacer politiquement dans les années à venir. L’histoire de lui faire coller une mauvaise image. Suivez nos regards !

Le président Faustin-Archange Touadéra est « attaqué » dans tous les sens en ce moment. Ce dernier, pour sa politique de la main tendue, est victime d’un complot qui est organisé par ses détracteurs, les politicards qui fomentent un sérieux catastrophe pour son avenir politique.

Pour avoir faire confiance à un homme (Sarandji) qui ne mâche pas les mots et n’aiment les bêtises comme lui, le président Touadéra se trouve dans la ligne de mire de ces ennemis de la République qui trouveraient déjà une piste pour « l’assommer politiquement» afin que le terrain leur soit libre.

La confiance fait à Sarandji par Touadéra depuis toujours rende jaloux certaines personnalités politiques qui n’arrivent pas à accomplir leur dessein diabolique. Comme souligné par lepotentielcentrafricain.com dans ses précédents articles, le premier ministre Simplice-Mathieu Sarandji qui contribue à la réussite de la vision politique du président Touadéra, est l’homme à « abattre » politiquement du fait de sa rigueur et sa franchise dans la gestion de la chose publique.

Toutes ces stratégies qui visent à créer un divorce entre les deux universitaires, sont l’œuvre de certains hommes politiques centrafricains bien connus qui sont soutenus par des mains invisibles de l’extérieur.

Pourquoi donc, manigancer toutes les hypothèses pour pousser le président Touadéra et le premier ministre Sarandji à se regarder en chien de faïence ?  N’arrivent-ils pas accomplir leur mission contre le pouvoir de Bangui, raison laquelle, ils optent désormais pour une éventuelle « séparation politique » de ces deux hommes qui ont su traduire dans les faits leur vision de gouvernance ?

Dans un premier temps, ces politicards parlaient de l’inexpérience du régime Touadéra qui, par contre, est apprécié par l’ensemble de la population centrafricaine et la communauté internationale.

Aussitôt avec l’engagement du régime pour la question de paix dans le pays, qui est soldé par la signature de l’accord de paix et de la réconciliation avec les groupes armés, ces mêmes ennemis de la République comme ils l’ont fait sous le régime de Bozizé, brandissent la question du départ du PM Sarandji afin qu’un gouvernement inclusif soit mis en place. Archifaux ! L’Accord de Khartoum qui est rendu public avec tous ses contenus, ne mentionne aucunement le point sur le fauteuil du PM.

C’est bel et bien un gouvernement inclusif qui est concerné avec la nomination dans le gouvernement, des représentants des signataires de cet accord de paix.

Il faut ne faut jamais comparer l’accord de Khartoum à celui de Libreville à l’époque où il est question pour l’opposition démocratique de désigner un de leurs pour gérer la Primature.

Le combat politique n’est pas celui de voir tout en noir. Il faut avoir ce sens, disant le courage de reconnaître certains efforts déployés par ceux qui ont hérité de la situation difficile du pays. Reconnaissons au moins les bonnes œuvres du régime Touadéra qui est à la hauteur de la mission qui leur est confiée par le peuple centrafricain.

Pour mener avec assurance et sérénité leur vision politique, le régime de Bangui est combattu par les ennemis de la nation qui est à la solde de certains pays extérieurs qui veulent coûte que coûte du départ de Sarandji afin que le boulevard de tous les « crimes » leur soit grandement ouvert.

Malgré tous les complots qui sont lancés contre le régime de Bangui en demandant le départ de Sarandji, le concerné est par contre, serein et déterminé à accompagner le président Touadéra pour l’intérêt national. Le peuple centrafricain a d’ailleurs préféré le PM Sarandji que quelqu’un d’autre. C’est un patriote qui défend son pays à tous les niveaux. Grâce à son courage politique, le régime de Bangui évolue dans la droite ligne de réussir les vœux du peuple centrafricain.

Bienvenu ANDALLA, 

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