Centrafrique : finalement, les traitres Dieudonné Ndomaté, Igor Lamaka, Maxime Mokom et Olivier Feïssona ont payé le prix de leurs actes hypocrites

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février 1, 2019

Bangui, le 01 février 19

La nature finira toujours par donner raison. Les corrompus représentants des ex-patriotes antibalaka aux pourparlers de Khartoum sont suspendus l’instance dirigeante de ce mouvement qui est géré par les vrais leaders que sont : Sébastien Wénézoui, Thierry Lébéné…qui sont connus par tous pour leur dévouement patriotique dont le peuple centrafricain tire son salut. Votre site lepotentielcentrafricain.com l’avait bien signalé dans un récent article, suite à l’information sûre envoyée depuis Khartoum par notre envoyé spécial.

Dieudonné Ndomaté, Igor Lamaka, Maxime Mokom et Olivier Feissona sont interdits de tout acte au nom des ex-patriotes antibalaka. C’est le prix de traitrise qu’ils ont payé, après êtres ralliés aux chefs rebelles de la séléka dans leur complot qui vise à demander l’amnistie et le partage du pouvoir de Bangui. Ces corrompus trainent derrière Djono Ahaba, Abakar Sabone et Ali Darassa. Une importante somme d’argent leur a été donnée en vue de soutenir les projets sataniques des séléka et ce, au nom des ex-antibalaka. Voilà pourquoi les vrais leaders de ce Bangui qui sont à Bangui, ont pris leur responsabilité de mettre un terme à l’hypocrite de ces corrompus qui sont à Khartoum. Ci-dessous, l’intégralité de communique de presse dont lepotentielcentrafricain.com a obtenu copie.

Mouvement des Ex Patriotes Anti Balaka République Centrafricaine

Unité-Dignité-Travail

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N°…../MPAB/SG

COMMUNIQUE DE PRESSE N°…/19

Le peuple centrafricain dans son entièreté se souviendra à jamais de l’avènement du Mouvement Anti-Balaka née en réponse à l’oppression et aux atrocités, hors natures et inhumaines, perpétrées par la Séléka, sans foi ni loi, depuis près d’une décennie.

Ne dit-on pas que, là où il y a l’oppression il y a résistance ? Ce postulat est régulateur de la nature. C’est en cela que le mobile auto-défenseur (victimes) du mouvement Anti-Balaka trouve son entière justification auprès de l’opinion publique nationale et internationale non confondu à une rébellion ou une révolte contre l’autorité légitime et légale de l’Etat Centrafricain.

Le Mouvement Anti-Balaka exprime sa désolation et ses regrets suite au ralliement aux cotés des milices rebelles de la Séléka ainsi que des mercenaires instrumentalisés des trois (03) représentants non légitimes des patriotes Anti-Balaka pour le partage du pouvoir de l’Etat et l’amnistie suite aux pourparlers de khartoum (Soudan).

Il s’agit des sieurs : Maxime MOKOM, Dieudonné NDOMATE, Igor LAMAKA et Olivier FEISSONA qui à compter de ce jour sont suspendus jusqu’à nouvel ordre du mouvement patriote pour trahison et appétits grégaires ne répondant pas aux attentes du peuple centrafricain.

La souveraineté de l’Assemblée Générale du Mouvement des patriotes Anti-Balaka a résolument décidé en sus que les sieurs mis en cause ne participeront plus à la suite du dialogue de Khartoum. Par ailleurs, le Mouvement Anti-Balaka, respectueux du Forum de Bangui n’a jamais investi des territoires, ni incendié des villes et villages afin de revendiquer le partage du pouvoir régalien et l’amnistie même si elle venait d’être adoptée par la représentation nationale, n’a qu’un effet national. Néanmoins, pour la cause, le Mouvement patriotique Anti-Balaka apporte tout son soutien et sa défense à son vaillant combattant notamment le sieur Patrice Edouard NGAISSONA qui jusqu’à ce jour jouissent de la présomption d’innocence devant la Cour Pénale Internationale (CPI).

Le Mouvement patriotique Anti-Balaka respectueux des valeurs républicaines prend le gouvernement, la Communauté Internationale et le peuple centrafricain à témoin pour son adresse aux milices Arabo-islamique-peulhs de cesser les hostilités s’ils ne sont pas extra-terrestres.

Le Mouvement patriotique Anti-Balaka n’aspire qu’à la paix, la stabilité et le développement socio-économique de notre cher et beau pays la République Centrafricaine.

Fait à Bangui le,

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